La vallée de l’Ourika
La vallée de l’Ourika s’étend entre les premiers contreforts de l’Atlas. Malgré sa proximité avec Marrakech, cette belle vallée verdoyante est très certainement l’une des vallées les mieux préservées au Maroc. Après avoir traversé la plaine fertile de l’Haouz et ses nombreux vergers plantés d’agrumes et d’oliviers, on arrive rapidement au bord des rives de l’oued Ourika avec en arrière-plan les imposants sommets de l’Atlas. Au km 34 on parvient au douar de Tnine de l’Ourika. Cette charmante petit bourgade est un centre névralgique de la région en raison de son souk tous les lundis.
En continuant sa route le long de la vallée de l’ourika, on est frappé par les rives de l’oued dont les prairies sont généreusement ombragées par des peupliers et autres saules pleureurs peu habituels sous cette latitude.
On s’enthousiasme pour ce paysage multicolore qui marie à la perfection l’ocre de la terre et la verdure avoisinante « Ici, nous explique-t-on, il y a beaucoup d’eau mais peu de terres, ce n’est pas comme en bas ou l’eau manque mais pas les terres ».Plus loi sur la route, si on n’a pas été tenté par les attractions offertes par l’Oukaimeden, les village Arhbalou tente de nous séduire avec sa multitude de petits restaurants installés au fil de l’eau.
La vallée de l’Ourika s’étend entre les premiers contreforts de l’Atlas. Malgré sa proximité avec Marrakech, cette belle vallée verdoyante est très certainement l’une des vallées les mieux préservées au Maroc. Après avoir traversé la plaine fertile de l’Haouz et ses nombreux vergers plantés d’agrumes et d’oliviers, on arrive rapidement au bord des rives de l’oued Ourika avec en arrière-plan les imposants sommets de l’Atlas. Au km 34 on parvient au douar de Tnine de l’Ourika. Cette charmante petit bourgade est un centre névralgique de la région en raison de son souk tous les lundis.
En continuant sa route le long de la vallée de l’ourika, on est frappé par les rives de l’oued dont les prairies sont généreusement ombragées par des peupliers et autres saules pleureurs peu habituels sous cette latitude.
On s’enthousiasme pour ce paysage multicolore qui marie à la perfection l’ocre de la terre et la verdure avoisinante « Ici, nous explique-t-on, il y a beaucoup d’eau mais peu de terres, ce n’est pas comme en bas ou l’eau manque mais pas les terres ».Plus loi sur la route, si on n’a pas été tenté par les attractions offertes par l’Oukaimeden, les village Arhbalou tente de nous séduire avec sa multitude de petits restaurants installés au fil de l’eau.
On s’enthousiasme pour ce paysage multicolore qui marie à la perfection l’ocre de la terre et la verdure avoisinante « Ici, nous explique-t-on, il y a beaucoup d’eau mais peu de terres, ce n’est pas comme en bas ou l’eau manque mais pas les terres ».Plus loi sur la route, si on n’a pas été tenté par les attractions offertes par l’Oukaimeden, les village Arhbalou tente de nous séduire avec sa multitude de petits restaurants installés au fil de l’eau.
On traversera le pont en bois qui franchit l’oued avant de se lancer dans une ascension glissante le long des berges d’un petit torrent. Les mois sportifs se contenteront d’admirer la première cascade puis la vue imprenable sur la vallée et le massif de l’Yaghour alors que les autres partiront pour une randonnée de plus de ces 2 heures à la découverte de ces 7 fameuses cascades. Les plus courageux et les plus aguerris se lanceront à l’ascension du mont Toubkal qui culmine à une altitude proche de celle du Mont blanc, ou partiront à la quête des célèbres gravures rupestres du mont Yaghour.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer